Le Crossfit est une discipline sportive qui fait de plus en plus parler d’elle depuis ces dernières années.
Elle comporte différents domaines comme par exemple le programme haltérophilie.
L’haltérophilie n’est pas à prendre à la légère au risque de se blesser.
Il est donc important de la pratiquer en tenant compte de la technique des mouvements cela permettant de développer les capacités physiques des athlètes.
Pour ce faire, il existe deux méthodes d’entraînement en haltérophilie.
La méthode par autorégulation
Un Crossfiter suit un programme donnée par son entraîneur de Crossfit. Parfois, il peut arriver que des failles techniques fassent leur apparition.
Un programme haltérophilie avec un entraîneur permet ainsi de les faire disparaître et que les entraînements suivants soient plus bénéfiques à l’athlète de Crossfit.
L’autorégulation permet à ce dernier de choisir les charges et le nombre de séries ou répétitions en tenant compte de sa fatigue et de ses compétences.
La technique et le mouvement sont corrigés en fonction de 3 règles qui offre la possibilité de s’autoréguler.
Par exemple, la charge peut être augmentée si la technique est bonne, le mouvement est réussi et s’il est également facile.
L’objectif est de pouvoir monter au maximum à un moment donné et ce avec une bonne technique et sans manquer de lever.
Il vaut mieux travailler avec des charges moyennes à moyennement lourdes pour un résultat plus significatif et améliorer ainsi sa technique.
En règle générale, cela se fait sur des 2-3 répétitions ou des combinés et ce sur plusieurs séries le tout ayant pour but que l’athlète soit constant.
La méthode de fine tuning
Cette méthode est différente par rapport à la précédente puisque celle-ci se fait sur plusieurs séries de plusieurs répétitions avec un poids moyen.
Lorsque le mouvement est bon, et seulement à ce moment précis, la charge peut être augmentée et l’athlète peut passer à des séries de 1 à 2 répétitions avec des charges montantes.
L’objectif de cette méthode est de se servir de la première série pour corriger les problèmes techniques et de faire ainsi du fine tuning technique avant d’augmenter la charge.
L’autre avantage de cette méthode est de ne pas fatiguer excessivement l’athlète.
Il a l’opportunité de corriger ses failles, d’améliorer sa technique, son mouvement et de tenter par la suite l’expérience avec des charges plus importantes.
Il en va de sa constance et sa compétence qui n’en ressortent que meilleures.
À savoir que les 3 règles de la méthode d’autorégulation sont aussi prises en compte dans celle de fine tuning pour un programme haltérophilie.